Me Tandonnet - Avocat en droit commercial et droit des sociétés

Pouvez-vous vous présenter et présenter votre parcours.

Je m'appelle Louis Tandonnet et je suis avocat au barreau de Bordeaux.

J'ai un parcours somme toute classique : j'ai étudié plus particulièrement l'histoire, l'économie et la philosophie au lycée et je suis arrivé en droit un peu par hasard après avoir tenté le concours d'admission à Sciences Po Bordeaux.

J'ai effectué une première année qui s'est avérée plus difficile que prévu notamment parce que je n'ai pas pris le plis immédiatement de la rigueur universitaire.

Après un second échec à Sciences Po Bordeaux, je suis revenu en droit pour boucler cette première année dont il ne me manquait que le premier semestre.

C'est à cette période que j'ai fait deux des rencontres les plus importantes de ma vie : mon Maître, philosophiquement parlant, le Premier Président Lataste, et mon mentor dans la profession, le futur Bâtonnier Jérôme Dirou.

Monsieur Lataste est le grand père d'un de mes plus anciens amis, alors également juriste, qu'il avait décidé de faire travailler chaque samedi matin sur nos exercices pratiques et nos cours. Je suis toujours d'une admiration sans borne pour l'intelligence, la culture et la modestie de ce grand serviteur de l'Etat, Docteur en Droit Coranique de l'Université d'Alger. Ancien membre du Parquet, puis Président de la Chambre Sociale de la Cour d'Appel de Bordeaux et enfin Premier Président de celle-ci, il me transmit plus que le goût de la chose juridique, celui de la chose humaine et je fis à ses côtés, mes humanités, selon la formule de nos pères.

Maître Dirou, lui, fut un des trois seuls avocats du Barreau (j'en avais contacté plus de 300) qui accepta d'ouvrir, à un étudiant de première année, les portes de son cabinet. Après un premier stage chez Maître Myriam Vincens Hourez, qui serait plus tard ma marraine au moment d'entrée dans la profession, j'arrivais donc, un 5 avril pluvieux, pour la première fois au cabinet. J'y passerai certaines des plus belles heures de ma vie d'étudiants. De ce premier jour, je me souviens de tout : les piles de dossiers doublant partout les murs de pierres blanches, la demi-lumière matinale tombant dans la cour intérieure depuis le puit de jour, l'odeur de vieux papier, de café froid et de poussière, les premières explications de Sandrine la secrétaire. Et puis le flot de la journée qui s'enchaîne : les premières recherches, le Code Civil gabonais, les audiences, les déplacements en expertises avec le patron au volant de sa saxo bic sous le siège de laquelle glissait un sakeboard presque sorti de Retour vers le Futur. Je vécus au cabinet deux mois qui changèrent à jamais ma vie : je n'avais pas encore défini comment mais je savais que je serai avocat.

Par la suite, ayant réintégré la Faculté, les connaissances acquises durant ces stages, mais également au sein des équipes du Crédit Foncier de France, avec lesquelles j'ai eu la chance de travailler, devaient être un inestimable vivier d'exemples pour appréhender les enseignements théoriques universitaires. Je continuais de plus à travailler en stage chez Maître Vincens Hourez durant le premier semestre de ma deuxième année.

Enfin, ayant intégré la licence en droit de l'Université de Bordeaux, j'eus le plaisir d'être rappelé par Maître Dirou qui voulait me proposer d'intégrer son équipe en tant qu'assistant juridique, à temps partiel et en CDI. Je me souviens très bien de l'appel du patron alors que j'étais en TD d'anglais un 7 décembre. Du dialogue rapide alors que j'étais sorti sous prétexte d'aller aux toilettes : "Vous êtes toujours d'accord pour travailler pour moi ?" "Oui, Maître." "Entretien demain soir 18 heures."

J'ai alors commencé une période de deux ans environ (Licence puis Master 1) durant lesquelles mes semaines s'enchaînaient sans interruption : faculté, cabinet, travail sur les marchés le week-end, participation à une tentative de journal étudiant, entraînements de football et de tennis de table, compétitions, sorties. La vie virevoltante d'un étudiant de 22 ans.

Les rapports que j'ai entretenus avec le Bâtonnier Dirou, ont toujours été placés sous le sceau de la confiance, du travail et d'une loyauté indéfectible. C'est sûrement cette relation particulière qui me permit de solliciter mon désengagement durant l'été afin de pouvoir travailler à temps plein, d'abord pour le Crédit Foncier qui, après m'avoir envoyé baluchon sur l'épaule à Limoges, Mont-de-marsan et Agen, fondait le projet de me dépêcher à Pau, ensuite pour Foncia où je passais trois mois fort instructif sur la gestion des clients difficiles.

Je pense qu'il est intéressant ici de faire un point sur ce rapport de mentor à apprentis. Je n'ai pas, autant par choix que du fait d'opportunités et d'éléments extérieurs, continué ma collaboration avec Maître Dirou après la fin de ce Master 1. J'avais, j'ai et j'aurai encore beaucoup à apprendre. Il me semble néanmoins que l'enchaînement des événements m'a été plutôt bénéfique. Je pense sincèrement qu'il est bon pour un jeune avocat (un jeune professionnel en général) de savoir se détacher suffisamment tôt de son mentor pour ne pas abîmer la statue et, potentiellement, sa foi dans la profession. Il est d'ailleurs essentiel de conserver une boussole dans son exercice et des valeurs fondamentales. Celles que j'ai reçues, tant de Maître Dirou que des personnes du Crédit Foncier, sont des valeurs de respect, d'écoute, de rigueur et de travail. Des valeurs simples. Et en plus de cela, la loyauté. C'est sûrement le fruit d'une éducation très militaire et gaulliste si cela me touche ainsi mais je suis persuadé qu'il ne peut y avoir de collaboration épanouie et efficace sans loyauté des parties.

L'entrée en Master fut également l'occasion d'un nouveau projet que nous devions mener avec plusieurs amis et qui allait m'occuper pendant plus de trois ans : l'association GAJAP - Groupement d'Assistance Juridique pour les Avocats et les Professionnels. Son objet était simple : permettre aux étudiants ne pouvant effectuer de stage pendant l'été de travailler, via l'association, sur des questions juridiques pour des professionnels. Cette expérience, en groupe autour d'un étudiant a minima titulaire d'une licence et choisi par les membres seniors de l'association, avait pour objet d'acquérir des compétences en matière de synthétisation des questions juridiques, d'organisation des recherches juridiques, de rédaction d'une note, et également de management d'une équipe. Ce projet, dont les statuts restent un des plus beaux exemples de complexité juridique auquel j'ai eu l'occasion de participer. Ce projet que nous avions mené avec la bénédiction du Doyen Brisson et avec le soutien de la Bâtonnière Anne Cadiot-Feidt et du Président Delbrel avait réussi à négocier un accord exceptionnel avec le Barreau de Bordeaux mais sera finalement miné par l'opposition dogmatique et stérile du Doyen Saint-Pau et de la Vice-doyenne Sautonie Laguionie, qui en interdisant à l'association d'intervenir dans les locaux de la Faculté avaient définitivement exclu la poursuite de ses activités. In fine, c'était avec beaucoup de regrets et une impression d'occasions perdues, que l'association était dissoute.

Dans le même temps, j'avais poursuivi mes études en obtenant consécutivement un Master 1 en Droit des Affaires puis en Droit Privé Général. J'aimerais ici rendre hommage à deux Professeurs pour lesquels j'ai le plus grand respect : Messieurs Malo Depincé et Daniel Mainguy. La scène est prestigieuse : la Faculté Panthéon Assas, la situation compliquée pour moi : je suis dans les rattrapages de mon premier Master I, je viens de finir mon contrat chez Maître Dirou, je suis Président du GAJAP et au bout du rouleau. Après avoir pris le premier train de Bordeaux (encore en 3 heures), m'être trompé de bâtiment, oublié ma convocation, j'arrive dans le fameux "couloir d'examen". Je viens passer un entretien obligatoire pour intégrer le Master II Concurrence et Consommation du Professeur Depincé. Le MP à l'entrée des locaux a eu du mal à me croire : un étudiant bordelais barbu venant à Paris passé un entretien pour une formation montpelliéraine, ça fait beaucoup. Dans le couloir, on discute : le Professeur pose des questions sur les domaines du Master. Je n'ai jamais eu de cours ni dans l'un ni dans l'autre. Cela me détend. J'entre. Le Professeur me demande de m'asseoir, jette un rapide coup d'oeil à mon CV, fronce les sourcils et me demande, amusé, "Pourquoi la barbe ?", l'entretien est lancé. Le Professeur déroule mon CV en m'interrogeant ponctuellement. Puis il me questionne sur mon absence de candidature au Master II Droit Privé Économique du Professeur Mainguy. Je réponds par une pirouette. L'entretien se poursuit puis le Professeur rassemble mon dossier et m'indique qu'il le place d'autorité dans la pile du Master II Droit Privé Économique. Les résultats seront donnés quatre jours plus tard juste après mon dernier examen de rattrapage. Je n'irai jamais à Montpellier faire ce Master. Durant l'été, mon médecin diagnostiquera un problème respiratoire me contraignant à un certain nombre de soins qui feront que je resterai à Bordeaux. Mais je n'oublie pas que deux Professeurs ont cru au profil d'un étudiant non diplômé ni candidat parce que son parcours compte plus que ces échecs et cette reconnaissance sera bientôt un puissant combustible pour le reste du parcours.

Revenu à Bordeaux, diplômé une deuxième fois, je me lance à l'assaut du CRFPA. Un premier échec cruel, la déception, la colère vis-à-vis de moi-même, le soutien parental, des trahisons aussi, des amitiés qui se brisent, d'autres qui se créent, c'est tout ça ce concours. Et du travail, du travail, du travail. Les newsletters tous les jours, les cours échangés, les corrections de l'IEJ, les articles du Professeur Dondero, de Maître Eolas ou de Liberté Chérie, ceux de Maîtres Laffly et Bauer. Se remettre en question, se reconcentrer sur ses seules études et repartir au front, mieux préparer, mieux dans la tête, mieux dans son corps. Je mate mon corps, je domine mon esprit, écrivait Saint Paul. C'est exactement cela : savoir se gérer pour courir un marathon comme un sprint tout en gardant une capacité finale d'accélération. Et puis savoir s'oxygéner, par le sport, la culture, le repos, le silence.

Il faut avoir vécu le concours pour comprendre ce que peut ressentir un étudiant de cinquième ou sixième année après 13 heures d'épreuves en trois jours. La difficulté à revenir à la table de travail pour préparer des oraux qui n'auront peut-être jamais lieu. L'usure mentale à l'annonce de la proclamation des résultats. La peur vous envahit comme une eau froide qui monte, une honte qui croie. Je l'avoue, j'ai fui : j'ai quitté la pièce pour sortir du bâtiment avant de voir d'autres candidats. Et en arrivant dans le hall, les tableaux avec les notes. Seuls. Nulle âme qui vive à l'horizon. Et la peur fond comme le givre. Se sentir léger comme le vent. Et pleurer en voyant les résultats. Pleurer parce que les nerfs craquent de joie. Parce que vous y êtes. Passer les oraux comme dans un état un peu second. Stresser d'avoir manquer la dernière marche. Et recevoir l'appel de l'ange qui au téléphone vous crie "Félicitations !" le jour des résultats.

La suite est indescriptible. Le coeur qui s'arrête un instant, la respiration coupée. Et puis soudain, comme une explosion de sensations qui vous retourne et vous écrase d'un coup. C'est quelque chose derrière laquelle il possible de courir toute sa vie et qui ne dure qu'une poignée de secondes.

Elève-Avocat à Bordeaux, j’ai pris le parti de terminer ma formation en effectuant le Master II Ingénierie Juridique et Financière de l’Université de Bordeaux. Cette formation avait l’énorme avantage d’être organisée sous la forme de cours du soir et donc me permit de rester dans le cabinet LEXCITIES (devenu depuis LEXSPECIALITIES) en stage universitaire puis dans le cadre du stage final. Cette période fut intéressant en ce qu’elle m’ouvrit sur le monde du conseil juridique, parallèlement à une activité contentieuse plus classique.

C’est durant cette période que j’eus le plaisir d’être recontacté par mon ami, le Professeur Meneau, afin de l’aider à la préparation au CRFPA des étudiants de la prépa PREEDA de Bordeaux. Ce fut au cours d’échange avec les étudiants de cette prépa que je commençais la rédaction définitive du recueil de jurisprudences que la maison d’édition LEXIS-NEXIS devait par la suite publié sous le titre “Les Arrêts essentielles en Droit des Libertés fondamentales.”

Au terme de cette période, mon diplôme d’Avocat en poche, je postulais au cabinet LEXAVOUE où j’exerce actuellement avec un immense plaisir.

En tant qu’avocat avez-vous choisi un exercice spécialisé ou au contraire généraliste ? Pourquoi ce choix et quelles en sont les conséquences ?

Je travaille dans un cabinet généraliste, bien que les associés des structures LEXAVOUE soient des spécialistes reconnus de la procédure d’appel, car nous intervenons aussi bien en matière civile qu’au social ou au commerce. Nous sommes également mandatés plus régulièrement au pénal aujourd’hui. Cette activité généraliste est extrêmement stimulante intellectuellement mais nécessite un important travail d’actualisation et de mise à jour qu’il est parfois ardu d’accomplir seul.

A titre personnel, mon activité est principalement axé autour du droit commercial et du droit des sociétés tant au conseil qu’au contentieux.

Exercez-vous aujourd’hui dans les matières que vous préfériez, pour lesquelles vous avez été le plus formé, ou avez-vous changé de spécialité ? Si oui, pouvez-vous nous en expliquer les raisons ?

Oui tout à fait ! J’ai une formation universitaire et professionnelle très généraliste mais le droit des sociétés à toujours été celui qui m’a le plus intéressé et celui dans lequel je me suis in fine le plus formé.

Néanmoins, je pense que cela n’a pas forcément beaucoup d’importances compte-tenu de l’instabilité législative et jurisprudentielle actuelle. La formation est une obligation continuelle. Si on devait prendre une image, c’est comme la construction d’un château de sable : celui-ci va être sûrement très beau mais la vague bientôt le recouvrira et même si certaines fondations peuvent demeurer il conviendra de le rebâtir.

Pourquoi avoir choisi ce métier ?

On pourrait répondre la formule de Cyrano : “J’errais dans un méandre ; / J’avais trop de partis, trop compliqués, à prendre ; / J’ai pris… […] / le plus simple, de beaucoup. / J’ai décidé d’être admirable, en tout, pour tout !

Plus honnêtement, je ne pouvais imaginer remettre chaque jour sur le métier un ouvrage qui ne ferait pas vibrer en moi un feu sacré, une passion. Alors oui, ce n’est pas le métier le plus simple, ni le moins exigeant. Ce n’est pas celui où on gagne le plus, ni celui où on jouit du plus d’avantages. Mais quelle importance lorsqu’on sait le prix que nous en retirons : nous sommes la voix de nos clients. Jacques Vergès, au cours d’une conférence disponible sur Youtube, parlait du cannibalisme de l’avocat vis-à-vis de son client, de l’avocat devenant le serpent aux milles yeux, car il prenait à chacun une part de son humanité pour plaider sa cause. D’une manière c’est bien cela être avocat : transmettre l’humanité de son client et sa cause.

Que demander de plus ? La Gloire, la Victoire ?

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite

Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,

Si tu peux conserver ton courage et ta tête

Quand tous les autres les perdront,

Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire

Seront à tous jamais tes esclaves soumis,

Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire

Tu seras un homme, mon fils.

Pouvez-vous nous décrire une journée « type » au travail ?

Tout dépend bien sûr des audiences que je peux avoir mais globalement j’arrive généralement au cabinet vers 9 heures. Je prends toujours un petit quart d’heure en début de matinée pour faire le tour des différentes newsletters d’informations que je reçois encore ainsi que de la presse locale. Ensuite, en fonction des urgences, je traite les dossiers du cabinet jusqu’à 12 heures 30 environ. Je prends une pause à ce moment-là pour me restaurer. J’en profite souvent pour joindre un client ou des confrères, ou pour une rencontre de travail. L’après-midi, sauf audience bien sûr, je suis de retour à 14 heures et ne quitte le cabinet que vers 19 heures au mieux, sauf dans le cas d’une réunion à l’extérieur. Si je dispose de ma soirée, vers 19 heures ou 20 heures en fonction des besoins, je commence à m’occuper de mes dossiers personnels ou je reçois mes clients en rendez-vous. Je quitte le cabinet vers 22 heures maximum, même s’il m’est arrivé de partir beaucoup plus tard ! Je ne suis pas un grand fan de télévision ou de séries mais je dîne ou je déjeune (lorsque je suis seul) toujours en écoutant une émission culturelle ou sportive, ayant notamment trait au football ou à la NBA, activité de mandataire sportif oblige !

Si vous pouviez revenir sur les bancs de la fac changeriez-vous quelque chose à votre méthode ? Si oui que changeriez-vous ?

Il est évident que je serai un étudiant plus efficace et précis si je devais revenir aujourd’hui ! Blague à part, le fait d’avoir entraîné et accompagné un certain nombre d’étudiants depuis quelques années à préparer les premières années d’étude ou le CRFPA, m’a également permis de rationaliser ma propre manière d’aborder l’apprentissage d’une matière juridique et les exercices pratiques y afférent. Néanmoins, je intimement persuadé que les études universitaires sont et doivent être celles de l’apprentissage individuel et personnalisé.

Je m’explique : à l’Université, l’étudiant apprend autant un savoir académique, que la manière qui lui ait propre d’accueillir et d’assimiler cet enseignement, mais également ce qu’on pourrait qualifier de “savoir-faire” et qui correspond d’une certaine manière à la façon la plus efficiente pour lui-même de travailler.

Il ne faut jamais oublier qu’il existe trois sortes de savoirs : le savoir à proprement parlé, le savoir-faire et le savoir-être, les deux derniers dispensent souvent du premier.

Quels sont vos conseils pour les futurs étudiants ?

Je pense que le conseil le plus important que je puisse leur donner est de se faire confiance. Souvent, malheureusement, mes étudiants me disent qu’ils n’ont pas la culture attendue ou pire qu’ils n’en ont pas du tout. C’est parfaitement inexacte : chacun dispose et développe ses propres références culturelles. Il peut à la rigueur être discuté le caractère académique des références choisies ou leur pertinence mais pas leur réalité. Par contre, il convient d’apprendre à les utiliser et à les combiner avec d’autres références, avec les enseignements universitaires et des réflexes professionnels afin de disposer d’une boîte à exemples pour appuyer les argumentations théoriques présentées.

De même, je pense qu’il est important d’utiliser les années universitaires pour se lancer dans des projets (sportifs, associatifs, culturels, professionnels, etc…) afin de ne pas le regretter par la suite. Il faut vivre sa vie, pas la rêver !

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